-CARACTÈRE-

Ana détient un certain sex-appeal, une apparence charmante et parfois sophistiquée, elle est tout sourires. Cependant, sous des dehors avenants et sympathiques qu'on pourrait croire, elle est loin d'être aussi souple qu'elle en a l'air. Décidée, énergique, elle recherche, d'une façon ou d'une autre, le pouvoir. Cela peut se traduire par un côté combatif, courageux, téméraire, par un certain esprit de contradiction, ou encore, plus habilement, par le fait de se montrer experte dans l'art de la manipulation... Souvent impatiente, impulsive, pressée, adroite, elle à tendance de penser à court terme. Susceptible, elle répondra souvent avec de l’agressivité ou avec de la colère. Anastasie n'a pas que des défauts c'est aussi une femme généreuse et adorable. Il est très difficile de lui résister, même si elle est possessive et autoritaire. Depuis enfant, Anastasiya aime la liberté, l'indépendance et est ennemie de la routine. Elle a tendance à rechercher la facilité et cela lui réussit assez, car elle a de la chance. Pas toujours disciplinée ni vraiment organisée, elle supporte mal les contraintes, la hiérarchie, les ordres et les critiques.

-PHYSIQUE-



Détrompez-vous, elle est bien de sexe féminin. Elle à toujours négliger son sexe, donc , arrivait à un certain âge, elle fait comme si elle était un garçon. A première vue, on pourrait lui crier "Albinos ! ", mais bien avant la coloration et les lentilles de couleurs, Ana avait les cheveux roux et de jolies yeux verts. On peut facilement savoir son pays natal rien qu'en entendant son petit accent russe.  Ce qui fait son charme c'est son ultime "eye smile". Le fait de sourire avec les yeux. Sa corpulence est tout à fait normal, poitrine normal, même si elle l'écrase avec un tee-shirt pour ne pas l'apercevoir et a des lèvres fines. Habituée à la nature, et à son odeur, elle porte un masque à gaz quand elle se rends dans les grandes villes urbaines, mais l'enlève une fois dans une zone où la nature est reine. Elle ne peut sortir avec son parapluie en plastique qu'elle actionne tout le temps, s'en est devenu une habitude. Étant une enfant d'après-guerre et néphilins Ana a un "N" sur son omoplate gauche.

« Madame votre fille..
- Je ne suis pas une fille, mais un garçon ! »

C'est ce que je m'efforçais de faire croire aux gens de mon entourage. En passant par mes parents. Au début, ces deux-ci, pensaient à une bonne farce de gamin, mais je n'arrêtais pas de me persuader que je faisais partie des hommes. Je n'avais rien contre les personnes ayant un vagin, je ne pensais guère au fait que les femmes sont inférieures à Nous les hommes, cette « folie » n'est pas venu du jour au lendemain, je suis androgyne. Du moins je pense l'être. Sérieusement j'ai les traits de visage pareils à ceux d'un homme ! Bien que quelques traits féminines apparaissent de temps à autres, sur mon visage ou seulement sur ma corpulence.
            Enfin, passons voulez-vous ? Cette journée-ci, nous étions en Russie, mon pays natal, je n'avais que 7 ans quand mes parents ont été convoqués parce que j'avais mordu un garçon de ma classe pour le motif suivant : essayant d'être le héros d'une fille. Croyant être un garçon, je me devais de protéger les filles pour devenir leur « héros » ! Arrêtons de parler de ce stupide souvenir. Et passons à quelque chose d'un peu plus intéressant :


Je suis née d'une femme humaine, nationalité russe et d'un père elfe de nationalité scandinave. Une belle histoire d'amour entre deux races différentes, non ? M'enfin, je suis bien née de cet amour à l'hôpital civil de la capitale. Un 8 mai pluvieux, mais bon, on dit que Dieu pleure sur ses plus belles créations. Je fus un bébé bien gras, mais on ne le distinguait pas quand j'ouvrais mes grands yeux. Mon père a dû mentir sur son identité pour qu'il vit en paix dans le pays natal de son épouse. Avant, le fait d'être entouré de néphilins n'était pas si mal vu qu'aujourd'hui. Maintenant si un humain sympathise avec une elfe, l'humain en question devient un monstre aux yeux de tous. On avait dit de moi, que j'étais le portrait craché de ma mère. Les mêmes yeux, mêmes bouches, la même corpulence : tout. Mais ce que ma mère n'aurait jamais pu imaginer, c'est que plus tard, pendant ma croissance, son « portrait craché » deviendrait androgyne et négligerait son sexe.
          Depuis l'âge de cinq ans, je posais tout le temps la même et chiante (oups désolée du mot déplacé) question :


« Pourquoi suis-je une fille ? »

Je n'approuvais pas le fait d'avoir un vagin au lieu d'un pénis. Pour moi être un garçon était beaucoup mieux que d'être une fille. C'est vrai les filles, non ? Attendez, les hommes n'ont pas cette foutue période où on pisse du sang, les hommes ne portent pas un embryon pendant neuf mois et un homme n'est pas vu comme la race inférieure. Ne l'oublions pas, les femmes ont pour définition : personne dans la cuisine. Si j'avais été un homme, je n'aurais pas eu tout ça ! Je voulais toujours que ma mère m'achète des habits pour homme, du genre un caleçon au lieu d'une culotte des choses comme ça. Mais étant une fille adorable, à l'âge de douze ans je me forçais à être une « fille ». Je commençais par les vêtements. Quelque chose de plus féminin, puis vint les cheveux toujours détachés, mais qui ont eu des coupes originales, les chaussures puis le maquillage. Aux yeux de ma mère : ça y est, j'étais devenu une vraie fille.
       Arrivée à mes quatorze ans, nous étions forcés de partir de la ville urbaine pour une campagne. C'était trop pour mon père de devoir être entouré d'immenses usines crachant des fumées mortels, pour lui il lui fallait de l'air pur et naturel. Et puis j'ai compris, que ce n'était pas pour ça. On avait découvert une « force spécial » à l'objectif d'éradiquer l'existence de néphilins, donc nous. Bien que cet organisme est vieille, nous avons appris leur existence bien plus tard du au manque d'informations sur eux. La peur ne faisait que dévorer notre âme. Nous avions peur d'eux. Peur de nous voir mourir le lendemain ou le jour suivant.



Je me souviens de ce jour comme quand un couple se souvient de la date de leur mariage. Le jour de la mort de mes parents. Je venais d'atteindre la vingtaine l'âge où tu bois tous les soirs en soirée avec tes amis. Je vais être bref à ce sujet :
maman et papa sont partis voir de la famille de ma mère en ville urbaine de la Russie. Ils ont, malheureusement, rencontrés un membre de l'UAN qui, celui-ci, savait pour l'identité de mon père. Depuis ils ne sont plus rentrés à la maison. Je n'ai jamais retrouvé leur corps et j'ai dû attendre une semaine pour qu'on confirme leur "disparition" grâce au sang de mes parents sur le trottoir. Quand j'ai su ça, j'ai vu la rage me dévorer petit à petit, comme la peur, sauf qu'elle était plus forte et plus supérieure. Elle avait pris le contrôle total de mon corps, tellement que je commençais à tuer des personnes innocentes pour x raison. De ce fait, j'ai été envoyé dans un hôpital psychiatrique. De mes vingt ans, jusqu'à mes vingt-quatre ans. Donc quatre ans à rester coincé entre quatre murs blancs, à entendre d'horribles cris des autres fous, de sentir l'odeur de la crasse et à supporter la tronche immonde du psychologue. En gros ces quatre années, ont été de la grosse merde.


Le moi d'aujourd'hui à bien changer. J'ai changé que ce soit de façon physique ou de façon psychologique. Je me prends toujours pour un garçon, ceci ne changera jamais. Je me suis juste teint et couper les cheveux, avant ils étaient de couleur flamme (donc rouge), maintenant ils sont de couleur blanchâtre et la couleur de mes yeux est passé de vert à violet vif, je vous rassure ce n'est pas naturel, mais la magie des lentilles de couleurs. M'exposant rarement au soleil ma peau changea à son tour sa couleur en devenant blanche. J'écrase ma poitrine en mettant un bandage autour de celle-ci, couvre mes oreilles pas trop pointues à l'aide de mes cheveux, porte des gants pour ne pas laisser d'empreintes digitales à tout moment, actionne mon parapluie une fois dehors et porte un masque à gaz en allant dans les zones urbaines et polluées. Je fais tout ça pour ne pas que l'UAN ne me trouve, pour ne pas avoir la même destinée que mes défunts parents, mais je n'ai pas non plus la soif de la vengeance même si je n'hésiterais pas à tuer une quelconque personne de cet organisme. Ma folie peut revenir à tout bout de champ. J'ai emménagé dans une autre ville, là où plusieurs membres de l'UAN et néphilins se rendent. Je parle d'Abardeen. Étant en manque d'aventure j'ai décidé sur un coup de tête de m'y rendre à mon tour.  

En gros, je suis Anastasiya Gorski, un hybride mi-elfe mi-humain, un homme vivant avec la corpulence d'une femme.

• I AM A GIRL. o/ Tout savoir sur moi en huit mots : violon, musique coréenne, yaoi, visual novel, roman policier, Phoenix Wright, Doctor Who et Iason Mink.
• Comment avez-vous découvert le forum ? : Par le biais d'un ami formidable, au passage je lui fais de gros bisous, je t'aime Google. Love.
• Mon niveau rp : [] Débutant [X] Intermédiaire [] Expérimenté
• Un petit message à laisser aux admins? : Je vous viol. Amour.